1. la numérisation 3D du spécimen
Il s’agit non seulement de numériser l’objet d’intérêt à l’aide de techniques de numérisation 3D de pointe (surfacique ou tomographique), mais également de numériser l’ensemble de la documentation associée au spécimen (par exemple, les données scientifiques liées à la collecte du spécimen).
Depuis la numérisation 3D du spécimen et de la numérisation des données scientifiques propres à la collecte et de l’ensemble de la documentation associée au spécimen. Deux processus sont mis en parallèle : la capacité à numériser l’objet et la possibilité de capitaliser les connaissances associées pour permettre son analyse et sa compréhension.
2. la modélisation numérique du spécimen
En proposant un modèle 3D de l’objet numérisé, nous souhaitons faciliter son exploitation par la recherche, l’expertise, l’éducation et la valorisation, grâce au chaînage des connaissances.
En passant par la modélisation numérique du spécimen physique pour un traitement et une exploitation à des fins de recherche, d’expertise, d’éducation et de valorisation par le chaînage des connaissances. Il s’agit ici de mettre en lien les éléments entre eux, par la mise en place, d’un “container de connaissances” : le « spécimen étendu ».
3. la valorisation des données générées
Nous souhaitons structurer l’accès aux connaissances issues des données de numérisation 3D en mettant à disposition sans restriction les données numérisées générées et en mettant en lien toutes les données associées au spécimen numérisé en créant un « conteneur de connaissances » connu sous le nom de « spécimen étendu ».
Jusqu’à sa conservation et sa valorisation par la visualisation et l’exploitation des données à des fins de transmission et de médiation. Il s’agit d’exploiter le spécimen étendu à différents niveaux : de la médiation pour le grand public, à l’outil d’analyse pour la recherche, en passant par l’amateur curieux.